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Avril 2008 |
Michel Cabotse, 31 rue de Penthièvre, 75008 Paris. Estimations, expertises, courtage, conseil, achat et vente de tableaux.
Art dealer, specialised in 19 & 20 th century paintings.
Expert membre de la Chambre Nationale des Experts Spécialisés en objets d'Art et de Collection (C.N.E.S.) affiliée à la Cedea. www.expertscnes.com Sélection de tableaux XIXeme et XXeme siècles en permanence : Parmi les peintres dont des tableaux sont présentés: Charles Kvapil, Colette Lehman, William Bouguereau, Joseph Inguimberty, Jacques Mennessons, Auguste Charpentier, Kaszto Lanyi, Eugène Flandin, William Blair Bruce, Andrei Andrejew, Eugène Cantegril, William Laparra, Jean Lecroart, Serge Grinevich, Jean Albert Grand-Carteret, Gustave Boulanger, Michel Macréau, Eustaquio Marin-Ramos, Jacques Duthoo, Henri Morez, Bengt Lindström, Vladimir Szabo, Walter Lewino, Augustin Carrera, Jorge Soteras, A.Gauvain, Martinho Gomez da Fonseca, Ilio Burruni, Imre Emerich Révész, Léon Germain Pelouse, Wladimir Bougrine, Ludwik Cylkow, R Pollin, André Chardine, Evgeniy Pospolitaki, Arthur Herzog, Barbara Konstan, Thomas Alexander Harrison, Lilian Whitteker, René Piot, Louis Welden Hawkins, Michel Moreno, Léopold Reigner, Maurice Vagh-Weinmann... Ouvert tous les jours du lundi au samedi de 10 heures à 19 heures
La Galerie est ouverte : 31 rue de Penthièvre, 75008 Paris (métro Miromesnil.)
Tel 01 43 25 34 83 / 06 07 06 75 52
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Eté 2008, peintures |
Henri Morez, de son vrai nom Henri Schinezer, né en Roumanie, fut élève en France du peintre Mané-Katz, il exposa notamment au Salon d'Automne, à Paris, en 1938 (catalogue du Salon, n°1375 & 1376). Actif en France.
Dans l'oeuvre de Morez une âme solitaire circule d'aubes en crépuscules baignés de lumière , semblant accomplir un éternel voyage. Lucie Baillancourt En vérité, Henri Morez ne se veut le chantre d'aucune chapelle et, moins que tout autre, ne se croit nanti d'un message. André Flament L'Essentiel est invisible pour les yeux. Saint Exupéry Dans l'atelier ne cesse de se tailler un précipice entre le peintre et le tableau, le peintre et la peinture et lui, toujours y sombrer et s'en relever, c'est son destin, l'essentiel vertige en lequel il faut se perdre pour s'y trouver plus nu, plus vrai, plus intense. La peinture ne peut naître que de ce grand vide, de cette perdition et le peintre qui n'a pas pris tout le risque n'ira jamais plus loin que quelques joliesses. Le peintre, même avec la peinture, dans la peinture, est seul, car elle ne saurait être que champ d'expérience, miroir au mieux, elle qui du peintre attend tout mais ne lui donnera jamais qu'un reflet de son trouble.
Gilles Plazy
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